Benyamin Netanyahou et Adolph Hitler même projet funeste
Pire que le Führer, le Premier ministre israélien a planifié le génocide palestinien. C’est ‘’le grand remplacement’’ dont parlait Robert Menard, ancien secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF) et ancien candidat à la présidentielle française, qui est en marche. Il faut effacer les arabo-berbères de la bande de Gaza et de la Cisjordanie sous occupation. Des millions de palestiniens (hommes, femmes, enfants) sont tués, affamés, privés de soins d’urgence…une catastrophe humanitaire à ciel ouvert. Un génocide programmé qui fait jeu égal avec l’holocauste, l’extermination des amérindiens et les massacres du peuple noir, les plus dévastateurs de l’histoire de l’humanité que la communauté judaïque ignore royalement au nom d’un révisionnisme sectaire de bas étage.
Un révisionnisme pas du tout toléré lorsqu’il est question de l’histoire de l’holocauste qui ne doit nullement faire l’objet d’analyses scientifiques et de remise en cause de la thèse juive quant à certains pans de cette tragique histoire.
Le génocide hitlérien avait soulevé une onde de choc, une indignation planétaire qui a saturé nos livres d’histoire. Mais le génocide palestinien, normal, est toléré par ces mêmes régents qui passent pour des messieurs propres mais, en réalité, sont les partisans de l’eugénisme pratiqué par I ‘Etat hébreu, le régime ségrégationniste d’Afrique du sud et l’Allemagne nazi.
En France, par exemple, on peut rire de tout, sauf d’histoires liées à la communauté juive. Patrick Front, alors chroniqueur à l’hebdomadaire Charlie hebdo et l’humoriste franco-camerounais Dieudonné, en savent quelque chose sur l’hypocrisie occidentale. Dans cette même France métropolitaine, il est interdit de donner à son rejeton le prénom d’Adolf et la moustache hitlérienne est proscrite depuis 1945.
Les colonies sionistes poursuivent, sans vergogne, l’occupation des territoires. L’inaction et le cynisme sournois de la communauté internationale sont la preuve d’une complicité coupable. Surtout les Etats-Unis leurs alliés stratégiques. Benyamin Netanyahou, ce monstre froid à l’arrogance fécale, se la joue de plus belle. Il peut toujours chier sur le monde entier. Car il sait compter sur le soutien des cousins d’Amérique et son arme atomique qui, à ses yeux, sont autant d’arguments dissuasifs de taille constituant son dôme nucléaire.
La Corée du nord et l’Iran doivent légitimement poursuivre leur programme d’enrichissement d’uranium en vue de fabriquer la bombe atomique. Et, qu’on cesse de les présenter comme des ‘’bandits’’ du nucléaire.
Les pays africains qui disposent de cette précieuse ressource, doivent emboiter le pas. L’arme nucléaire doit être une priorité parmi les priorités. Cela va de notre politique géostratégique, histoire de contrer les méthodes d’imbéciles qui s’érigent en maîtres du monde, et tiennent à nous maintenir dans une posture de colonisés compulsifs.
Au nom de quel principe sacro-saint, certains pays doivent disposer du nucléaire et non les autres ?
Existe-t-il une licence dont le copyright est la propriété d’un seul pays au monde autorisant ou non sa fabrication ? Un Etat n’est-t-il pas libre d’en disposer sans l’arbitrage préalable d’une supposée puissance étrangère? L’Agence internationale de l’énergie atomique, à la solde de Washington, doit revoir sa copie.
Sortir de l’embrigadement idéologique, c’est aussi prendre en main sa destinée et opérer des choix en toute conscience et connaissance de cause. Jusqu’à quand va-t-on se laisser vassaliser par ces barbares caucasiens qui deviennent des facteurs bloquants à l’émancipation des consciences ? Les pays de l’Alliances des Etats du sahel (AES) l’ont bien compris.
A l’idée de créer un Etat palestinien, seule alternative à la fin du conflit israélo-palestinien, tout le monde en convient, l’ONU, comme par extraordinaire, devient incompétente. Cette organisation qui avait pourtant planifié le sionisme juif et créé l’Etat israélien en 1950, rattrapée par l’histoire, se retrouve dans la gadoue, incapable de trancher, elle laisse pourrir une situation de plus en plus explosive.
L’on comprend aisément pourquoi le général français Charles de Gaulle l’avait qualifiée de « machin », parce que sans réel pouvoir décisionnel contraignant. Les résolutions de ses instruments juridiques que sont la CJI, la CPI étant inopérantes, les justiciables, sous le coup des mandats d’arrêts internationaux fantaisistes émanant de cette juridiction, sont dénudées d’effets coercitifs.
Un pays qui se respecte doit quitter cette organisation qui ne sert pas à grand-chose ; interrompre les relations diplomatiques avec Israël afin que cet Etat soit isolé du monde civilisé.
A quand le prochain Nuremberg pour juger les criminels de guerre israéliens que sont les Benyamin Netanyahou, déjà sous le coup d’un mandat d’arrêt international, et ses terroristes engagés dans l’effacement ethnique?
L’Occident, impuissant, face au séisme palestinien, se déculotte lamentablement.
Vraiment triste, ce désastre visuel révoltant auquel on assiste !!!!
