Il n’y a qu’à imaginer Brigitte Macron en situation d’épouse d’un chef d’Etat africain pour qu’on ait eu droit à un déferlement médiatique de la part de la presse française qui aurait consacré ses manchettes sur cette affaire pour le moins sulfureuse et rocambolesque. Dommage, l’affaire touche la première institution de France et dans ce pays, plus qu’ailleurs en Occident, très peu de titres sont anticonformistes, voire iconoclastes, hormis peut-être Charlie Hebdo, Marianne. Et même là encore !
Devenir femme lorsqu’on est un homme ou homme lorsqu’on naît femme est entré dans le domaine du banal en France et plus largement dans les pays occidentaux. Partant de là, d’aucuns seraient tentés de se demander pourquoi l’affaire Brigitte Macron fait tant de bruit, dans un environnement pourtant censé accepter ce que l’on qualifie de dérive ou de dépravation en Afrique ?
Tout a commencé comme une simple rumeur alimentée par une ex-Gilet jaune, Isabelle Ferreira, la femme qui s’apprêtait à révéler des informations compromettantes sur Brigitte Macron. Avant qu’elle n’ait pu révéler quoi que ce soit, elle avait été retrouvée morte à Saint-Malo Saint-Malo, une commune de France située en Bretagne. Selon les enquêteurs, la militante serait morte par noyade. Une thèse que réfutent ses proches et une frange d’individus taxés de conspirationnistes qui considèrent suspecte cette mort.
L’énigme Jean-Michel Trogneux.
Pour eux, il n’y a pas l’ombre d’un doute : Isabelle Ferreira a été victime d’un crime crapuleux lié au fait qu’elle s’apprêtait à faire des révélations sur le couple Macron, car pour elle, Brigitte Macron est un transgenre qui s’appelait autrefois Jean-Michel Trogneux. Ce que réfutent les défenseurs du couple macroniste qui soutiennent, eux, que Jean-Michel Trogneux est le frère de Brigitte Macron qui est jusqu’à ce jour introuvable.
Devant la difficulté à démêler les écheveaux en France, même devant la justice qui a du reste été récusée pour ses liens avérés avec le président de la République qui est soit dit en passant président du Conseil supérieur de la Magistrature, certains journalistes français ont fait appel à Candace Owens, une journaliste américaine à la pugnacité avérée, présentée par une certaine presse française, pour tenter de la décrédibiliser comme une conspirationniste d’extrême droite doublée de ses liens avérées avec Donald Trump, l’actuel président américain.
Pour tenter de mieux cerner le problème, la journaliste américaine s’est fendue d’un questionnement tout simple : où est Jean-Michel Trogneux ? Où sont les photos de Brigitte Macron lorsqu’elle était jeune et avec ses enfants ? Pourquoi Brigitte Macron ne se présente-t-elle pas avec son frère Jean-Michel Trogneux pour mettre fin à la polémique si tant est que ce dernier existe bel et bien ?
Autant de questions et bien d’autres qui demeurent sans réponse et qui laissent dubitatifs la journaliste et ses soutiens qui pensent qu’il y a forcément anguille sous roche.
A raison, car si cette théorie développée par les fameux conspirationnistes était fausse, c’est depuis longtemps que les photos de Brigitte Macron jeune fille et celles de ses enfants seraient sur la place publique. Au lieu de cela, le couple présidentiel continue de maintenir l’ambiguïté, alimentant par la même occasion la suspicion qui s’enfle chaque jour davantage qui accrédite la thèse selon laquelle Brigitte Macron n’est autre que Jean-Michel Trogneux, un transgenre qui de plus serait, selon les mêmes conspirationnistes le père d’Emmanuel Macron. Une hypothèse qui, si elle est avérée, les placerait en situation d’inceste. L’affaire Brigitte Macron loin d’être seulement une simple affaire de détournement de mineur, pourrait avoir d’autres conséquences pénales cette fois-ci, si tant est qu’elle aille jusqu’à son épilogue.
Affaire à suivre.
