Face à l’état d’abandon de la pompe publique du quartier Izouwa, dans le 4e arrondissement de Port-Gentil, l’équipe du leader associatif et politique Romain Kerault a décidé d’agir. Cette pompe, autrefois essentielle à la vie quotidienne des habitants, était hors service depuis plusieurs années, forçant les riverains à parcourir de longues distances pour s’approvisionner en eau potable.
Conscient de la détresse des habitants, Romain Kerault a personnellement financé la réparation de la pompe, redonnant ainsi accès à une ressource vitale à des dizaines de familles.
Un geste fort pour améliorer le quotidien
Depuis le début de la semaine, la pompe est de nouveau fonctionnelle et la population d’Izouwa peut enfin puiser de l’eau propre à proximité. Un véritable soulagement après des années de promesses politiques non tenues.
« Avoir de l’eau potable, c’est préserver la santé de toute une communauté », a-t-on entendu parmi les habitants reconnaissants.
Par cet acte, Romain Kerault réaffirme son engagement citoyen et sa volonté d’être à l’écoute des besoins réels de la population.
Nettoyage du canal : une mobilisation citoyenne exemplaire
Dans la foulée, une opération de nettoyage du canal du quartier a été lancée avec l’aide de plusieurs jeunes volontaires, encadrés par des membres de la société civile, dont Emeline Flore Étombet Wora et Carnancitha Nguimbi.
Objectif : débarrasser le canal des ordures ménagères et des broussailles pour éviter les inondations lors de la saison des pluies. Armés de pelles, machettes, débroussailleuses, gants et brouettes, les jeunes du quartier ont œuvré avec énergie et solidarité.
Ce désherbage stratégique permet désormais un meilleur écoulement des eaux de pluie, réduisant ainsi les risques d’inondations et de maladies liées à l’eau stagnante.
« Chaque geste compte. C’est par ces petites actions que l’on crée de grands changements », a souligné un participant.
Un élan de solidarité qui inspire
L’initiative a été largement saluée par les habitants, qui se sont spontanément joints aux travaux. Ce bel exemple de mobilisation collective montre que l’amélioration du cadre de vie est possible quand les citoyens, les leaders locaux et les organisations sociales unissent leurs efforts.
Cette action concrète prouve qu’en mettant la volonté et les moyens au service du bien commun, on peut faire bouger les lignes, même sans attendre l’État.
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