Que dire du Gabon à l’analyse des fait suite au procès de la famille Bongo.ON apprend qu’ils ont détourné près de 4000 milliards de francs CFA alors que le pays souffre de tous les maux, pas de développement,pas de paiement de la dette intérieure ou des pensions des retraités en même temps on parle de la restauration de la dignité des gabonais.
- Une urgence de refondation morale, où la lutte contre la corruption n’est plus un mot, mais une politique réelle, visible, irréversible.
- Le Gabon ne peut pas tourner la page sans rendre justice au peuple, récupérer les avoirs volés, et reconstruire un État basé sur la transparence.
Et maintenant ?
- Vérité : Publier intégralement les résultats des enquêtes, expliquer au peuple ce qui s’est passé.
- Justice : Traduire en justice tous les responsables, quel que soit leur rang.
- Réparation : Restituer les fonds volés à la Nation, et les affecter aux priorités sociales.
- Réforme : Repenser le système de gouvernance pour empêcher la reproduction d’un tel pillage.
Conclusion :
On ne peut parler de dignité sans vérité, justice et mémoire. Le procès de la famille Bongo doit être un tournant pour le Gabon, non pas un épisode isolé, mais le début d’un redressement national, moral et institutionnel.
Ce que révèle l’affaire dite de la « famille Bongo » est profondément choquant à plusieurs niveaux, tant moralement que politiquement. Voici une analyse critique, suivie d’axes de réflexion sur la situation du Gabon :
Analyse des faits
- Un détournement massif et systémique :
- Les sommes évoquées (près de 4 000 milliards de FCFA) dépassent l’entendement. Cela équivaut à plusieurs années de budget national.
- Cela met en lumière un système de prédation institutionnalisée, opérant au sommet de l’État sur plusieurs décennies.
- Un contraste intolérable avec la réalité du pays :
- Manque d’accès à l’eau, à l’électricité, aux soins, à l’éducation.
- Arriérés de paiement pour les pensions des retraités, les salaires, la dette intérieure.
- Un chômage élevé, une jeunesse désabusée, un tissu économique affaibli.
- Le paradoxe du discours politique :
- On parle de restauration de la dignité des Gabonais, mais sans justice ni réparation, ce discours sonne creux.
- Le peuple ne demande pas des slogans, il attend des actes concrets, de la vérité et de la justice.
Ce que cela dit du Gabon :
- Une fracture entre le pouvoir et le peuple, entretenue par le silence, la peur ou la manipulation.
En considération des situations de détournements de l’argent public et des procès et autres enquêtes qui n’ont jamais abouti et des auteurs de crimes financiers en liberté, le procès de la famille Bongo n’est pas une fois de plus une tragi-comédie juridico-politique qui finira comme toutes les autres affaires du même genre ?
La rédaction





Commentaires récents